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after death

evanescence un groupe qui m a toujours fasciné , la voie d Amy lee resonne des

10 Février 2014 , Rédigé par aphilo90

EVANESCENCE un groupe qui m a toujours fasciné , la voie d Amy lee résonne des heures durant juste après avoir écouter des morceaux , sinon je dis chapeau a ce groupe !respect!!!!!!!!!

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perso

10 Février 2014 , Rédigé par aphilo90 Publié dans #poeme

N.B

Le sais –tu ma belle que je ne sais quoi écrire pour valoir ta beauté

Ma dévotion, ma foi, et ma crainte de te perdre dans cette fatale cruauté

Sur le fond, il n y’ a nul mot qui pourrait décrire

L’amour et la passion qui me fait languir

Je pense à toi à chaque instant, à chaque moment

Depuis que je t’ai rencontré, que je t’ai vu, que je t’ai parlé, ce qui cause mon plus grand tourment

Comment te dire que je souffre de cette distance ? Ce serait inutile

Car elle disparait aussitôt que je te vois, comme c’est futile.

Je ne me passe plus de ce sourire mesquin, que j’aime tant

De ton corps qui alimente tout mes fantasmes latents

De ta chevelure épaisse que ne cesserais de caresser

Avec moi, tu sais, tu ne saurais paresser et je ne saurais te laisser.

Ta beauté à mes yeux est la plus grande prouesse de l’univers

Ma foi j’avoue qu’elle me met à l’ envers

Comme Aragon je vois dans ton regard des soleils venir s’y mirer

Car tout les soleils de l’univers ne pourraient se dérober face à un tel éclat ni se leurrer.

J’ai envi tu sais de te serrer tellement fort afin qu’il n’ y’ ai aucune distance entre nous

Je t’envi tellement que j’en arrive à haire les cieux pour cette cruauté me rendant fou

Je regarde ta photo de mon écran et je trouve magnifique

J’ères dans ce dossier à ton nom, que j’en désespère ce qui est lunatique.

J’espère tant avec peu de moyen, que puis-je faire d’autre

Les mains liés, j’espère tant, ma belle que je te fais mon apôtre

Les moments difficiles grâce à toi je les ai surpassés

Je t’aime toujours autant malgré le temps passés.

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9 revelations chap2

10 Février 2014 , Rédigé par aphilo90 Publié dans #livre

L’ASTRE

Du haut de mon immeuble je contemple

Une lueur scintillant dans le ciel ample

D’une couleur bleu brillante et simple

Se distinguant dans la plèbe de Naples.

Mes yeux fixés regardant vers le haut

Mon cœur serré dans l’étau

De cette merveille que ne valait mille mots

Pour décrire ce qui n’était faux.

Ma foi j’avoue mon obsession

De cette lumière que nulle ne pourrait voire sans passion

Sans lucidité, sans désire, et sans imagination

Je suis l’élu, le rempart de la révolution.

Je regarde ce point de l’univers

Qui transcende mon esprit de travers

Par la lumière de cette étoile à l’envers

L’unique vérité j’y’ai découvert.

Si Ahura est celui qui est

Alors cet astre équivaut sa gloire et sa dignité

Son existence j’en triomphe l’unité

Pour le profane j’éprouve la plus grande pitié.

Des cinq cotés de cet astre se regroupant

J’admire sa magnificence fondant

Dans mes yeux envieux rêvant

De ce mirage, de cette illusion se réalisant.

Je regarde la haut, la porte des mondes

Reliant neuf mondes au tout par des ondes

Ainsi que nous humains créatures fades et immondes

Moi seul sais combien la vérité est grande.

Nous regardant surement de cette porte

Appréciant sa farce qu’il apporte

Estimant ceux qu’il déporte

Et en considérant cette vie qui ne l’importe.

Ca doit être la liesse si tel est une farce

Se sont –ils surement regroupés en masse

Profitant de notre impasse

De cette vie que trop de personnes se sont lassent.

Un monde rejeté que je vis

Je le hais avec tout mon mépris

N’oubliant guère que j’en suis épris

De cette vie que je médis.

La porte soit –il ou le revers de l’humanité

Et si par le désir tout fut en intégralité

Alors je désire la finalité

D’un monde en décadence et raté.

Je ne me présente guère

En réformateur, ou en père

Mais autant qu’humain en quête d’une saine terre

J’en implore les trois segments de l’univers.

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9 revelations chap 1

10 Février 2014 , Rédigé par aphilo90 Publié dans #livre

L’œil

En cette nuit que je marchais en solitaire

J’errais seul dans cet obscur repère

Que nul ne pourrait y être à cette heure

Mais en cette nuit, j’étais sans peur

Je tenais ma précieuse lettre, mon bien

Attendant de sceller mes désirs par ce lien

Les rafales de vent serinant le même son

Je sentais sa présence et j’en avais des frissons

J’avais tellement espéré ce jour, ce vendredi

Le treize de ce mois, que mes paires ont tant médit

Ce jour, celui de mon réveil, de mon élévation par ce rituel,

Elaboré, conçus et préparé pour son appel.

Un monde de vice tel est ce monde en dérision

Rien que du mépris et du dégout j’en éprouve de par mes lésions

Je les mettrais tous en pâture volontiers comme sacrifice

Leur sang va d’emblée me renforcer, ainsi seront-ils lapidé de tout vice ?

Immondes soient-ils, je baignais dans la fange de leurs pulsions

Désespérées, naturelles et simples ; ce qui fut le début de ma transformation

Un esprit candide devenant subitement fourbe et machiavélique

Dont le sadisme, et la perfidie se tournèrent vers le gothique.

Ainsi soit-il qu’en cette nuit je me tienne la

Debout et lassé sur cette terre à trépas

Vidée, et abandonné, afin d’être contracter par les ténèbres

Pour y résider, les rafales chantant des airs funèbres.

Sa demeure était-ce ? Alors j’y suis et j’attends

Qu’il daigne répondre à mes attentes du moins pour ce qu’il prétend

Je défierais toute créature intervenant dans mes desseins

Comblerais –je ainsi ma haine par du sang dans mes mains ?

N’était ce pas assez que la dépouille de ces vermines

Trainées depuis ici, et disposées sur l’autel avec la vigne

Vidées de leurs entrailles, ils sont moins fiers maintenant

Que leur chair m’immole, je me sens puissant.

Le temps ne s’arrête guère, il est déjà trois heurs passés minuit

Je vois le croissant de lune dépassant l’horizon, je m’ennui

Puis me dis-je que j’ai peu être commis l’irréparable

Que de part mon délit la société en sera impitoyable

Je m’assois dans sol, perdu, abattu et condamné

Ils feront de moi leur bête de foire, l’abominé

Un sentiment de regret m’envahit, devrais-je fuir pour une telle offense

Envers la morale, pour une chimère une fausse croyance.

Dans ce moment d’écœurement de répugnance de soi

Assis parmi les trépassés repensant cette fausse foi

Qui avait fait de moi son jouet, sa victime

Son commis à la perversion de son immoralité et son crime

J’ai juste été la victime dirais –je, le jouet

De cette entité, de cette lumière qui me rend sourds et muet

Je m’y plaisais en elle, et voyais le monde autrement

Grace à cet œil qui me guide et me rend fort parmi ces démons

Ce monde fut mon tourment, mon cauchemar, mon enfer

Foulé le sol de cette terre souillée par mes semblables et la misère

De leur humanité, de leurs piétés, et de leurs amours

Le destin ne s’avère guère lunatique présageant un malheur proche et lourd

Dans mes pensées, je ne puis remarquer le vent s’agiter

Au loin, parmi l’obscur paysage de cette localité

Ma vue était diminuée par le souffle qui venait percuter mon corps

Il était temps de rentrer, et d’accepter que j’avais tords

Aussitôt me levais-je que je vis une lueur reluire

Au loin, et puis soudain il y’ eut deux dans ma mire

Mon courage dans mes mains, debout, je l’attendais

Fièrement devant le butin que je lui offrais

Cette créature s’approchait déambulant dans les aires

Etait-elle aillée ?serait-ce un volatile ?Alors qu’il n’y ait rien dans ce repère

Ces yeux, cette lumière, etaient celle d’une chouette

Accablé par l’échec m’avançant vers la sortie qu’elle se mit sur mon chemin muette

Nous étions la l’un devant l’autre, dans un silence morne et sinistre

Les lueurs de la lune éclairant son regard feindre le pitre

Elle jubilait, me fixait, et me faisait peur

Elle savait peut être ce qui allait advenir de moi à cette heure.

Des pensées sordides traversèrent mon esprit tourmenté

Je ne puis autrement que de les retenir, quel raté !

Qu’une voie rauque surgit derrière moi réitérant mon nom

Frémissant de peur, que je vis mon ombre tourner rond.

Sa présence était incontestable, il était autour de moi

Sous cet œil à mes pied, il est la, je suis avec lui, lui mon roi

Je venais à lui, mes ennemis comme offrande et ma vie en présent

L’ombre envahissait mon corps à la suite de mon offrande, et je me sentais comme à la maison.

Je sentais un nouveau pouvoir naitre en moi de nouvelles sensations

La lune par sa clarté était de couleur sang, et d’une façon

Mystérieusement sublime, tout ce que je voyais avant devint en feu

J’étais vivant, j’avais réussis, et ca m’émeut.

L’ombre, couvrait entièrement mon corps et mes sens changeant

Du à cet œil, oui à lui , à genou je lui suis reconnaissant

Encore et encore, je suis changé, et je me cède

A jamais, m’enivrant de ce bonheur raide

Cette substance ombreuse quitte mon corps

Emportant avec elle mes faiblesses et mes tords

Ma mollesse et mon humanité pour l’éternité

Avec ce lien je me lie à cet œil en tout aparté.

Je foule à nouveau le sol des trépas changé

Laissant derrière une vie minable et de misérable corps étripé

Tout le bonheur du monde ne pourrait se définir ni apparaitre

Sur mon visage, mais je ne sens plus mon cœur battre !

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afterdeath chap2 entier

10 Février 2014 , Rédigé par aphilo90 Publié dans #livre

Chapitre 2 : Une vie simple

La journée s’achevait petit à petit , je quittais le lycée en compagnie de Samuel et de Sophie , nous descendîmes les escaliers qui nous faisait face pour arriver au hall d’entrée de l’établissement , tout le monde se reconnaissait dans ce tumulte , il était la lui aussi le grand José , il nous fixait , il était adossé à son piètre casier , il était avec trois de ses sous fifres , qui le suivait comme un dieu , on ne pouvait ne pas les reconnaitre , il étaient tous grands et musclés , ils agressaient les plus faibles du bahut mais nous on était avec Samuel. Pendant que tout le monde nous fixait , je ne pouvais m’empêcher de penser au cour qui venait de finir tantôt , et à mademoiselle Namji , ce qui m’empêchait de penser à ma frustration première qui était de plus en plus grandissante , j étais intimidé , non pas par les gens mais leurs pensée , je sais qu’ ils espèrent un échec de ma part , qu’ ils me prédisent une perdition prochaine , une chute et une décadence , dans le plus sombre des gouffres , pour qu’ ils puissent ainsi en tirer une satisfaction personnelle , penser s’élever , avoir le sentiment d’être supérieur et pour ainsi dompter leurs sentiment d’infériorité , ils font tous pitié.

Apres quelques instants nous parvenons , à l’étroite couloire qui aboutit à la rue , les vents fouillant , annonçant l’arrivée de l’hiver sifflaient en rafales , on frémissait à chaque instant que ca nous effleurait , je tremblait de froid derrière mon blouson il ne me préservait pas assez , je l’avais eu d’occasion , et nous marchâmes le long de la rue , Samuel habite à coté dans un petit appartement de quatre chambres ou il habite avec ses tuteurs .la maison de Samuel est située dans un quartier commerçant , on y voit de tout des grossiste ou des détaillants , ses parents tiennent un restaurant juste en face de chez eux ce qui est pratique , ils ont une vie tranquille , loin de tout les chamboulements de la société et de la misère qui guette.

Apres avoir passer quelques carrefours, nous arrivons chez lui, c’ est un bâtiment assez vétuste , de deux étages , quatre fenêtres faisant face à la rue , indiquant surement quatre pièces et le restaurant est juste en face.

  • On va manger ? suggéra t il
  • Oui pourquoi pas, indiqua Sophie , en moi j’ai juste hoché la tète comme signe d’approbation , mais j’étais vraiment affamé , le petit déjeuné que j’avais pris avec Amy avait cessé de faire effet depuis longtemps , je ne voulais pas montrer ma faiblesse aux autres , le fait que j’aie juste partagé un bol de céréale avec ma sœur le matin , et que cela fait six heures que je n’ai rien avalé.
  • Samuel ! c’est son père qui lui parle , il est gros et gras , des moustaches qui sont recourbés à l’extrémité , de petits yeux ronds cachés par la rondeur de ses joues ,un sourire facile et un menton séparé , des lèvres épaisses , il porte un ensemble blanc et une serviette toute tachée qui plombe son immense bide et il portait un torchon qui lui servait de chapeau.
  • Viens m’aider ! ajouta t il
  • Je suis avec mes amis papa ! répondit il
  • C’est pas grave on a trop de client aujourd’hui !s ‘exclama madame Cooper en passant prés de nous avec des assiettes à la main
  • Bonsoir madame dis-je poliment
  • Oui Edward ! comment va ta mère ? me demanda t elle
  • Elle va bien, je peux vous aider si vous le voulez
  • Non ca ira Edward , prenez place plutôt vous devez avoir faim , je vous sers tout de suite .A ces mots , toute autre idée s’évanouissait , disparaissait , je ne pensais qu’ à ca , ca restait la fixée, comme si je n’attendais que ca , qu’ on m’invite à manger , la faim faisait grogner mon ventre , je bavais devant les plats servis sans m’ apercevoir , j’essayais en vain de retenir ca mais madame COOPER s’en évidemment aperçus et ce qui m’irritait encore plus .Je ne supportais pas recevoir de la charité mais c’était le cas , je n’ avais pas un sous en poche , elle voyait quelqu’ un d’affamé avec son fils , et elle ne voulais pas que ca ternisse l’image de son enfant , je refusais l’ idée qu’ elle ait pu faire ca par un simple geste de bonté , sinon elle allait le faire pour tout les mendiants de cette rue, elle allait organiser un festin pour toute personne dans le besoin , la ce serait un geste de bonté , et je serais d’autant plus apte à recevoir sa charité , mais maintenant c’est par pitié qu’elle m’aide , je n’ai pas le choix hélas je dois penser à mon ventre et non pas à mon statut .Sophie était devant assise, une table nous séparait , je l’observais , la lumière émanant d’une fenêtre sur le coté du siège qui la devançait , irradiait son visage rayonnant , j’en contemplais la pâleur ,elle avait l’aire fatiguée, mais souriante , et zen , ses cheveux noires tout décrépis etaient attachés en arrière , ses sourcils n’etaient pas concis ,ses yeux grands s’illuminaient à chaque mots qu’elle prononçait , scintillant comme du verre , on pouvait y voir son reflet, de son regard on en distinguait la pureté de ses sentiments , la sincérité de ses dires , et l’innocence de sa personnalité , elle portait des verres soutenue par une monture en plastique de couleur bleue foncée qui se déposaient sur son nez un peu grossier , ses joues etaient énormes disproportionnées et gracieuses , son sourire s’affichait parmi ses fossettes ce qui sublimait son visage , charmant les chanceux qui pouvait la voir , extasiant celui à qui elle l’offre , on ne pouvait qu’être de bonne humeur en sa compagnie , j’en oubliais mes petits soucis ,je ne savais pas comment mais je me sentais bien avec elle , son coup appâté dont les paroles faisaient secouer sa graisse disposée en masse superposés , une croix argentée s’en extirpait se longeant dans le plis de sa poitrine retenue par un t-shirt débordée par ses seins imposant , elle portait un gilet en coton noir surmontée par un manteau en cuire , elle avait les mains sur la table parmi les ornements qui etaient disposés la , tout son corps vibrait quand elle parlait … .
  • Vous voila servis, bon appétit mes petits ! dit madame COOPER , elle déposa un sandwich aux œufs accompagné de frites , tout mon corps se mettait en émoi , j’arracha le ketchup sur la table pour le mettre sur mon plat.
  • Bon appétit Ed ! me dit-elle poliment
  • Bon appétit à toi aussi , fait attention c’est gras !riais je
  • Tu es incorrigible ! répond t elle
  • Non je pense à ton régime .
  • tu es hilarant Ed !ironisa t elle en feintant un sourire
  • je pensais que tu faisais encore ton régime , et moi qui pensais a toi
  • C’est vrai tu pense a moi , elle s’extasiait me regardant avec ses grand yeux
  • Bien sur pourquoi pas , tu es une amie non !
  • Ok, une amie rien que ca
  • On peut être plus si tu veux
  • Qu’ est ce que tu veux dire Ed ? m’interrogea t’elle en posant ses mains sur la table
  • Je veux dire qu’on pourrait être plus que des amis
  • Comme quoi ?s’ interrogea t elle encore
  • Comme des meilleurs amis ! dis-je en riant
  • Ha haha c’est très drôle ! ironisa t elle
  • Tu voulais que je dise quoi ?
  • Je pensais que tu allais dire quelque chose qui serait significatif pour nous
  • Tu veux dire significatif dans la relation que nous partageons?
  • Oui
  • Dans quel sens ? en bien j’espère. dis-je en souriant
  • Bien sur, on allait vivre quelque chose d’unique
  • Comme ces series ridicules a la télé
  • Tu es vraiment hilarant, tu ferais bien un clown dans un cirque
  • Hey et c’ est toi qui me traite d’hilarant . plaisantais je , je riais avec elle , je savais qu’elle avait des sentiments profonds pour moi , mais ce n’était pas réciproque , j’avais quelqu’ un d’autre dans mon cœur , ca signifiait beaucoup pour moi , je ne suis pas un séducteur qui séduit de droite a gauche je ne suis pas lâche non plus , loin de ca je ne veux pas lui faire du mal , c’est rare de nos jours de trouver quelqu ‘un de bien ,
  • Alors vous êtes bien servis. dit Samuel en servant la table d’à coté
  • Oui ca va, merci .remerciais je
  • La serviette te va bien .remarqua Sophie
  • je te l’offre si tu veux .répond Samuel en riant
  • non non ca va , c’étais juste une remarque riposta t elle
  • je vous sers à boire ? nous demanda t il
  • oui avec plaisir. s’exclama Sophie
  • vous voulez quoi ?
  • un soda pour moi .s ‘écria Sophie
  • de l’eau ca ira pour moi . commandais je
  • ok !a tout de suite ! s’écria t il
  • pourquoi tu fais cette tète ?me demanda t elle
  • tu parle de quoi ? répondis je effaré
  • je parle de la tète que tu fais maintenant, tu as l’air ailleurs !
  • je pensais a rien
  • ca m étonnerai
  • alors dit le moi puisque t’en sais autant
  • si je le savais , j’allais pas te le demander
  • parlant d’un autre sujet si tu veux juste parler
  • d’accord tu veux parler de quoi ?
  • de toi, de ta famille, le lycée , de tout ce que tu veux , je t’écoute
  • parlant de ta relation avec Naomi
  • relation ? il n’ y ‘a rien entre nous !
  • alors quand est ce que tu compte lui déclarer ta flamme
  • déclarer une flamme ? les arlequins t’ont bousille le cerveau
  • si tu veux ! alors tu va lui dire ?
  • non !
  • pourquoi ?
  • je ne le sais pas, je ne veux pas essayer
  • si tu l’aime, dis lui et peut être qu’ elle acceptera
  • non Sophie , je n ai pas la tète a ca pour l instant
  • voila vos boissons !annonça Samuel
  • tu finis quand ?demanda Sophie
  • non je reste ici !répond t il
  • je pensais que tu allais partir avec nous .s ‘attrista t’elle mimant la peine et affichant un paraitre chagriné
  • non tu vois le monde qu’ il y a Sophie , je ne peux pas partir
  • t en fais pas je suis avec Ed !affirma t elle , en déposant la paume de sa main sur la mienne , elle était froide , elle venait tout juste de la retirer du soda qu’ elle sirotait le dos tourné vers Samuel.
  • D’accort faite vite, vous allez raté le bus de 19heures, et faites attention sur le chemin
  • Ok !acquiesça Sophie d’un grand sourire , il s’inquiétait pour nous , se montrait protecteur envers nous , ca plaisait peut être a Sophie qui est une fille qui a une vie détruite par le divorce de ses parents , elle qui est l’ainé d’une famille de quatre enfant , et se donne corps et âme dans ces études afin de subvenir aux besoins de sa famille , ca comble peut être son sentiment d’insécurité mais ceci me déplait , il a ce truc , ce charisme qui s’en émane , en s’inquiétant pour tout le monde pour un rien , en prenant soin des gens qui l’entoure , a sa place je lui donnerais pas autant d’ attention qu’ il a pour moi , il a tendance a me ridiculiser , a me déviriliser , a révéler mon impuissance , ma mollesse et surtout ma vulnérabilité devant les gens ce qui me rendait plus pathétique que je le suis et je le haïssait pour ca .
  • Nous allons partir dans 10minute, travaille bien !ajouta Sophie
  • D’accort faites attention, et ne vous amusez pas trop !ironisa t il d’ un regard rieur , et d’un sourire malicieux en me tapant dans le dos. Peut être qu’ il insinuer de prendre des initiatives , en tendant la main a Sophie , en prenant les rênes pour une fois comme tout homme allait le faire dans ma situation , elle était loin d’être moche , peut être que je dois saisir cette opportunité qui s’offre a moi , de cet amour qui vient de lui-même , malgré mes réticences personnelles et principes fondés sur des idéaux que la société m’ obligeait a respecter ,la voie du gentlemen me parait étrange et dépasse , il ne faut juste aimer la femme a qui nous sommes ce serait inutile de se voiler la face en recherchant le grand amour alors qu’ on pourrait le trouver en la personne qui nous est plus dévouée , je parle bien sur de celle qui reste dans l’ombre espérant qu’ un jour elle sera remarquer.
  • Tu as fini ?me demanda t elle
  • Oui , nous pouvons partir .répondis je .Aussitôt nous nous levâmes , nous avions termine, d’un signe de la main , on salua Samuel qui était a l’autre bout de la pièce servant des client , et nous somme sortis .
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